Chamousset-Châteauneuf (position fortifiée de)[c293][45.552998 N, 6.198548 E]

Dépt 73 (Savoie). Nous n’avons trouvé qu’une seule mention de cette position dans un document de 1874 lequel ne nous est parvenu que partiellement. Il fait suite à un rapport sur « les travaux de fortifications admis par l’inspecteur général de 1873 lors de sa tournée extraordinaire du mois de juillet 1874. » On peut y lire au sujet de la position de Chamousset‑Châteauneuf : « Réduit au rôle d’une tête de pont pour protéger la retraite de nos troupes évacuant la crête d’Aiton, l’occupation de Chamousset se présente très nettement et peut se résumer comme il suit : 1° Un fort sur le plateau en arrière de Chamousset pour battre le débouché dans la plaine d’Aiton et voir la vallée du Gelon le plus loin possible vers Chamoux. 2° Un fort sur le mamelon de Chateauneuf qui, laissé à l’ennemi serait trop menaçant pour Chamousset. Cet ouvrage est d’ailleurs nécessaire pour mieux couvrir le passage de l’Isère (…) 3° Une batterie en terre entre ces deux ouvrages sur le sommet de Boisson, de façon à augmenter l’artillerie, tirant vers le débouché d’Aiton, flanquer les abords de Châteauneuf et surveiller concurremment avec cet ouvrage la plaine basse de Boisson. Cette batterie serait construite au moment de la guerre, pendant qu’on arrêterait l’ennemi dans la Maurienne ; il en serait de même d’une batterie à élever sur le petit mamelon au nord de l’église. 4° Une batterie sur le Montplan avec une organisation défensive pour surveiller le chemin de retraite de Grésy à Saint‑Pierre d’Albigny. Cette batterie prendrait en flanc l’attaque contre le fort de Chamousset et défendrait les abords de cet ouvrage. L’emplacement se prête à un grand développement d’artillerie. La plus grande partie des épaulements peut être faite au moment de la guerre. À la rigueur, les forts de Chamousset et de Châteauneuf pourraient, pour atteindre le but qu’on vient de définir, n’être que de fortes batteries, étroites, avec escarpe et contrescarpe. Organisées très simplement, leurs principales forces étant dirigées du côté de l’arrivée de l’ennemi, elles ne seraient pas coûteuses. Mais dans l’opinion du général inspecteur, ces ouvrages doivent, après le départ de l’armée, devenir en même temps de véritables forts d’arrêt. Envisagée de ce point de vue, leur organisation ne serait plus aussi facile. Ils devraient défier l’artillerie ennemie de quelque côté que viennent les coups. Ce n’est même plus 7 à 800 000 francs qu’il faudrait compter pour chaque fort, mais deux millions, ce qui, pour l’ensemble des ouvrages donnerait lieu à une dépense de deux millions et demi en sus de la somme strictement nécessaire pour la tête de pont. La crête occupée par le fort de Châteauneuf forme un arc de cercle dont l’extrémité droite s’appuie contre l’Isère au point culminant occupé par l’ancienne tour de Châteauneuf. Plutôt que de dépenser deux millions et demi pour obtenir deux forts d’arrêt qui n’empêcheraient pas l’ennemi de faire filer ses convois par le Gelon vers Pontcharra, ne vaudrait‑il pas mieux établir une solide batterie sur l’emplacement de la tour et une autre sur la rive droite de l’Isère en haut du rocher de Mont Benoît à l’est de Saint‑Pierre. On aurait ainsi un petit camp retranché appuyé à la crête infranchissable des Bauges. Après la retraite de l’armée, on y laisserait quelques 1000 hommes qui exerceraient une action réelle sur les convois des Italiens, forceraient l’ennemi à un véritable siège dès le début de la campagne et rendraient en tout état de cause plus de services que les deux forts de Chamousset et de Châteauneuf abandonnés à eux‑mêmes. Le camp retranché ne s’étendrait pas au plateau de Tardevel malgré la facilité que ce plateau offrirait à l’ennemi pour l’établissement de ses batteries. L’occupation de Tardevel se lierait mal avec le fort de Châteauneuf, étendrait inutilement la défense, exigerait beaucoup plus de défenseurs et la batterie de la tour, à la condition qu’on lui donne un très grand relief serait préférable. Quoi qu’il en soit, les forts de Châteauneuf, de Chamousset et la batterie de Montplan suffisent pour protéger la retraite de l’armée. (…) » À notre connaissance, hormis, peut‑être, une prévision de construction de batteries en terres levées en cas de conflit, rien de concret ne sortit de ces tergiversations.

Dept 73 (Savoie). Wir haben nur eine einzige Erwähnung dieser Stellung in einem Dokument von 1874 gefunden, das uns nur teilweise überliefert ist. Es folgt auf einen Bericht über „die vom Generalinspekteur von 1873 bei seiner außerordentlichen Inspektionsreise im Juli 1874 genehmigten Befestigungsarbeiten.“ Darin kann man über die Stellung Chamousset‑Châteauneuf lesen: „Auf die Rolle eines Brückenkopfes reduziert, um den Rückzug unserer aus dem Aiton‑Kamm abziehenden Truppen zu schützen, stellt sich die Besetzung von Chamousset sehr klar dar und lässt sich wie folgt zusammenfassen: 1. Ein Fort auf dem Plateau hinter Chamousset, um den Ausgang in die Ebene von Aiton zu bestreichen und das Gelon‑Tal so weit wie möglich Richtung Chamoux einzusehen. 2. Ein Fort auf dem Hügel von Chateauneuf, das, dem Feind überlassen, für Chamousset zu bedrohlich wäre. Dieses Werk ist zudem nötig, um die Isère‑Überquerung besser abzudecken (…) 3. Eine Erd‑Batterie zwischen diesen beiden Werken auf dem Gipfel von Boisson, um die Artillerie zu verstärken, die auf den Ausgang von Aiton feuert, die Zugänge von Châteauneuf zu flankieren und zusammen mit diesem Werk die untere Ebene von Boisson zu überwachen. Diese Batterie würde im Kriegsfall errichtet, während man den Feind im Maurienne aufhalten würde; dasselbe gälte für eine Batterie auf dem kleinen Hügel nördlich der Kirche. 4. Eine Batterie auf dem Montplan mit einer defensiven Organisation, um den Rückzugsweg von Grésy nach Saint‑Pierre d’Albigny zu überwachen. Diese Batterie würde den Angriff auf das Fort Chamousset in die Flanke nehmen und die Zugänge dieses Werks verteidigen. Der Platz eignet sich für eine große Artillerieentfaltung. Der größte Teil der Brustwehren kann im Kriegsfall erstellt werden. Im Notfall könnten die Forts von Chamousset und Châteauneuf, um das eben definierte Ziel zu erreichen, nur starke, schmale Batterien mit Escarpe und Contreescarpe sein. Sehr einfach organisiert, ihre Hauptkräfte auf die Seite der Feindannäherung gerichtet, wären sie nicht kostspielig. Doch nach Ansicht des Generalinspekteurs müssen diese Werke nach dem Abzug der Armee gleichzeitig echte Sperrforts werden. Unter diesem Gesichtspunkt betrachtet, wäre ihre Organisation nicht mehr so einfach. Sie sollten der feindlichen Artillerie trotzen, von welcher Seite die Schläge auch kommen mögen. Es wären nicht mehr nur 7‑ bis 800 000 Franken pro Fort zu veranschlagen, sondern zwei Millionen, was für die gesamten Werke zu einer Ausgabe von zweieinhalb Millionen zusätzlich zum streng notwendigen Betrag für den Brückenkopf führen würde. Der vom Fort Châteauneuf besetzte Kamm bildet einen Kreisbogen, dessen rechtes Ende sich an der Isère am höchsten Punkt stützt, der von dem alten Turm von Châteauneuf eingenommen wird. Anstatt zweieinhalb Millionen auszugeben, um zwei Sperrforts zu erhalten, die den Feind nicht daran hindern würden, seine Konvois über den Gelon Richtung Pontcharra laufen zu lassen, wäre es da nicht besser, eine solide Batterie auf dem Standort des Turms und eine weitere am rechten Ufer der Isère oben auf dem Felsen von Mont Benoît östlich von Saint‑Pierre zu errichten? Man hätte so ein kleines verschanztes Lager, das an den unüberwindlichen Kamm der Bauges angelehnt wäre. Nach dem Rückzug der Armee ließe man dort etwa 1000 Mann zurück, die eine reale Wirkung auf die italienischen Konvois ausüben, den Feind zu einer regelrechten Belagerung gleich zu Beginn des Feldzugs zwingen und in jedem Fall mehr Dienste leisten würden als die beiden sich selbst überlassenen Forts von Chamousset und Châteauneuf. Das verschanzte Lager würde sich nicht auf das Plateau von Tardevel erstrecken, obwohl dieses Plateau dem Feind die Aufstellung seiner Batterien erleichtern würde. Die Besetzung von Tardevel würde sich schlecht mit dem Fort Châteauneuf verbinden, die Verteidigung unnötig ausdehnen, viel mehr Verteidiger erfordern und die Batterie des Turms wäre vorzuziehen, unter der Bedingung, dass man ihr eine sehr große Überhöhung gibt. Wie dem auch sei, die Forts von Châteauneuf und Chamousset und die Batterie von Montplan genügen, um den Rückzug der Armee zu schützen. (…) “ Nach unserem Wissen ging, abgesehen vielleicht von einer Planung zum Bau von aufgeschütteten Erdbatterien im Konfliktfall, nichts Konkretes aus diesen Zögern hervor.

Dept 73 (Savoie). We hebben slechts één vermelding van deze positie gevonden in een document uit 1874 dat ons slechts gedeeltelijk is overgeleverd. Het volgt op een rapport over „de vestingwerken die door de algemene inspecteur van 1873 zijn aanvaard tijdens zijn buitengewone inspectietocht in juli 1874.“ Daarover kan men lezen betreffende de positie Chamousset‑Châteauneuf: „Gereduceerd tot de rol van een bruggenhoofd om de terugtocht van onze troepen die de kam van Aiton ontruimen te beschermen, stelt de bezetting van Chamousset zich zeer duidelijk voor en kan als volgt worden samengevat: 1° Een fort op het plateau achter Chamousset om de uitgang in de vlakte van Aiton te bestrijken en de vallei van de Gelon zo ver mogelijk richting Chamoux te zien. 2° Een fort op de heuvel van Chateauneuf dat, aan de vijand overgelaten, te bedreigend zou zijn voor Chamousset. Dit werk is trouwens nodig om de oversteek van de Isère beter te dekken (…) 3° Een aarden batterij tussen deze twee werken op de top van Boisson, om de artillerie te vergroten, vurend richting de uitgang van Aiton, de toegangen van Châteauneuf te flankeren en samen met dit werk de lage vlakte van Boisson te bewaken. Deze batterij zou op het ogenblik van de oorlog gebouwd worden, terwijl men de vijand in de Maurienne zou tegenhouden; hetzelfde zou gelden voor een batterij op te richten op de kleine heuvel ten noorden van de kerk. 4° Een batterij op de Montplan met een defensieve organisatie om de terugtochtweg van Grésy naar Saint‑Pierre d’Albigny te bewaken. Deze batterij zou de aanval tegen het fort van Chamousset in de flank nemen en de toegangen van dit werk verdedigen. De plaats leent zich tot een grote artillerieontplooiing. Het grootste deel van de borstweringen kan op het ogenblik van de oorlog gemaakt worden. In het uiterste geval zouden de forten van Chamousset en Châteauneuf, om het zojuist gedefinieerde doel te bereiken, slechts sterke, smalle batterijen kunnen zijn, met escarp en contreescarp. Zeer eenvoudig georganiseerd, hun voornaamste krachten gericht op de zijde van de aankomst van de vijand, zouden zij niet kostbaar zijn. Maar volgens de mening van de generaal‑inspecteur moeten deze werken, na het vertrek van het leger, tegelijkertijd echte stopplaatsforten worden. Vanuit dit gezichtspunt bezien, zou hun organisatie niet meer zo gemakkelijk zijn. Zij zouden de vijandelijke artillerie moeten trotseren van welke kant de slagen ook komen. Het zijn zelfs niet meer 7 à 800.000 frank die men voor elk fort zou moeten rekenen, maar twee miljoen, wat voor het geheel der werken zou leiden tot een uitgave van twee en een half miljoen bovenop het strikt noodzakelijke bedrag voor het bruggenhoofd. De kam bezet door het fort van Châteauneuf vormt een cirkelboog waarvan het rechteruiteinde steunt tegen de Isère op het hoogste punt bezet door de oude toren van Châteauneuf. Liever dan twee en een half miljoen uit te geven om twee stopplaatsforten te verkrijgen die de vijand niet zouden beletten zijn konvooien via de Gelon richting Pontcharra te laten doorlopen, zou het niet beter zijn een solide batterij op de plaats van de toren en een andere op de rechteroever van de Isère boven op de rots van Mont Benoît ten oosten van Saint‑Pierre te vestigen? Men zou aldus een klein verschan kamp hebben, leunend tegen de onoverkomelijke kam van de Bauges. Na de terugtocht van het leger zou men er een duizendtal man achterlaten die een reële actie zouden uitoefenen op de Italiaanse konvooien, de vijand vanaf het begin van de campagne tot een werkelijk beleg zouden dwingen en in elk geval meer diensten zouden bewijzen dan de twee forten van Chamousset en Châteauneuf aan zichzelf overgelaten. Het verschan kamp zou zich niet uitstrekken tot het plateau van Tardevel ondanks het gemak dat dit plateau de vijand zou bieden voor de opstelling van zijn batterijen. De bezetting van Tardevel zou zich slecht verbinden met het fort van Châteauneuf, de verdediging nutteloos uitstrekken, veel meer verdedigers vereisen en de batterij van de toren, op voorwaarde dat men haar een zeer groot reliëf geeft, zou verkiezenlijk zijn. Hoe dan ook, de forten van Châteauneuf, van Chamousset en de batterij van Montplan volstaan om de terugtocht van het leger te beschermen. (…) “ Voor zover wij weten kwam, behalve misschien een voorziening voor de bouw van opgeworpen aarden batterijen in geval van conflict, niets concreets uit dit geaarzel voort.

Dept 73 (Savoie). We have found only a single mention of this position in an 1874 document which has reached us only partially. It follows a report on “the fortification works approved by the general inspector of 1873 during his extraordinary inspection tour in July 1874.” One can read therein concerning the position of Chamousset‑Châteauneuf: “Reduced to the role of a bridgehead to protect the retreat of our troops evacuating the Aiton ridge, the occupation of Chamousset presents itself very clearly and can be summarised as follows: 1° A fort on the plateau behind Chamousset to cover the exit into the plain of Aiton and see the Gelon valley as far as possible towards Chamoux. 2° A fort on the hillock of Chateauneuf which, if left to the enemy, would be too threatening for Chamousset. This work is moreover necessary to better cover the crossing of the Isère (…) 3° An earth‑work battery between these two works on the summit of Boisson, so as to increase the artillery, firing towards the exit of Aiton, flanking the approaches of Châteauneuf and jointly monitoring with this work the lower plain of Boisson. This battery would be constructed at the time of war, while the enemy was being held in the Maurienne; the same would apply to a battery to be erected on the small hillock north of the church. 4° A battery on Montplan with a defensive organisation to monitor the retreat route from Grésy to Saint‑Pierre d’Albigny. This battery would take in flank the attack against Fort Chamousset and defend the approaches of this work. The site lends itself to a large artillery deployment. Most of the parapets can be made at the time of war. In a pinch, the forts of Chamousset and Châteauneuf could, to achieve the goal just defined, be merely strong, narrow batteries, with escarp and counterscarp. Organised very simply, their main forces being directed towards the side of the enemy’s arrival, they would not be costly. But in the opinion of the general inspector, these works must, after the army’s departure, become at the same time true blocking forts. Considered from this viewpoint, their organisation would no longer be so easy. They would have to defy enemy artillery from whichever side the blows come. It is no longer even 7 to 800,000 francs that would need to be reckoned for each fort, but two million, which, for all the works, would lead to an expenditure of two and a half million in addition to the sum strictly necessary for the bridgehead. The ridge occupied by Fort Châteauneuf forms an arc of a circle whose right extremity rests against the Isère at the highest point occupied by the old tower of Châteauneuf. Rather than spending two and a half million to obtain two blocking forts that would not prevent the enemy from running his convoys via the Gelon towards Pontcharra, would it not be better to establish a solid battery on the site of the tower and another on the right bank of the Isère at the top of the rock of Mont Benoît east of Saint‑Pierre? One would thus have a small entrenched camp leaning against the impassable ridge of the Bauges. After the army’s retreat, about 1000 men would be left there who would exert a real action on the Italian convoys, force the enemy to a veritable siege from the beginning of the campaign and would in any case render more service than the two forts of Chamousset and Châteauneuf left to themselves. The entrenched camp would not extend to the Tardevel plateau despite the ease that this plateau would offer the enemy for establishing his batteries. The occupation of Tardevel would fit poorly with Fort Châteauneuf, unnecessarily extend the defence, require many more defenders and the battery of the tower, provided it is given very great height, would be preferable. Be that as it may, the forts of Châteauneuf, Chamousset and the battery of Montplan suffice to protect the army’s retreat. (…) “ To our knowledge, apart, perhaps, from a provision for the construction of raised earth batteries in case of conflict, nothing concrete emerged from these hesitations.

Dept 73 (Savoie). Našli jsme pouze jedinou zmínku o této pozici v dokumentu z roku 1874, který se k nám dostal jen částečně. Navazuje na zprávu o „opevňovacích pracích schválených generálním inspektorem z roku 1873 během jeho mimořádné inspekční cesty v červenci 1874.“ Lze v něm číst ohledně postavení Chamousset‑Châteauneuf: „Zredukováno na úlohu předmostí k ochraně ústupu našich jednotek evakuujících hřeben Aiton, obsazení Chamousset se představuje velmi jasně a lze je shrnout takto: 1° Pevnost na náhorní plošině za Chamousset, aby pokryla výstup do roviny Aiton a viděla údolí Gelonu co nejdál k Chamoux. 2° Pevnost na návrší Chateauneuf, které by, ponecháno nepříteli, bylo pro Chamousset příliš hrozivé. Toto dílo je ostatně nutné k lepšímu krytí přechodu přes Isère (…) 3° Zemní baterie mezi těmito dvěma díly na vrcholu Boisson, aby zvýšila dělostřelectvo, pálící směrem k výstupu z Aiton, flankovala přístupy k Châteauneuf a společně s tímto dílem střežila nízkou rovinu Boisson. Tato baterie by byla postavena v době války, zatímco by se nepřítel zadržoval v Maurienne; totéž by platilo pro baterii vztyčenou na malém návrší severně od kostela. 4° Baterie na Montplanu s obrannou organizací ke střežení ústupové cesty z Grésy do Saint‑Pierre d’Albigny. Tato baterie by brala do boku útok proti fortu Chamousset a bránila by přístupy tohoto díla. Místo se hodí k velkému rozvinutí dělostřelectva. Většina parapetů může být provedena v době války. V krajním případě by forty Chamousset a Châteauneuf mohly, aby dosáhly právě definovaného cíle, být pouze silné, úzké baterie s eskarpou a kontreskarpou. Velmi jednoduše organizované, jejich hlavní síly směřující na stranu příchodu nepřítele, by nebyly nákladné. Ale podle názoru generálního inspektora musí tato díla, po odchodu armády, zároveň stát skutečnými závěsnými forty. Pohlíženo z tohoto hlediska, jejich organizace by již nebyla tak snadná. Musela by vzdorovat nepřátelskému dělostřelectvu z jakékoli strany přicházející rány. Už to není ani 7 až 800 000 franků, které by se muselo počítat na každý fort, ale dva miliony, což by pro celek děl vedlo k výdaji dvou a půl milionu navíc k částce přísně nutné pro předmostí. Hřeben obsazený fortem Châteauneuf tvoří kruhový oblouk, jehož pravá končetina se opírá o Isère v nejvyšším bodě obsazeném starou věží Châteauneuf. Spíše než utratit dva a půl milionu za získání dvou závěsných fortů, které by nepříteli nezabránily provádět své konvoje přes Gelon směrem k Pontcharra, nebylo by lépe zřídit pevnou baterii na místě věže a další na pravém břehu Isère na vrcholu skály Mont Benoît východně od Saint‑Pierre? Mělo by se tak malé opevněné ležení opírající se o nepřekonatelný hřeben Bauges. Po ústupu armády by tam zůstalo asi 1000 mužů, kteří by vyvíjeli reálnou akci na italské konvoje, nutili nepřítele k opravdovému obléhání od počátku tažení a v každém případě by prokázali více služeb než dva forty Chamousset a Châteauneuf ponechané samy sobě. Opevněné ležení by se nerozprostíralo na planinu Tardevel přes snadnost, kterou by tato planina nabízela nepříteli k zřízení jeho baterií. Okupace Tardevel by se špatně pojila s fortem Châteauneuf, zbytečně by rozšiřovala obranu, vyžadovala by mnohem více obránců a baterie věže, pod podmínkou, že jí dáno velmi velké převýšení, by byla výhodnější. Ať tak či onak, forty Châteauneuf, Chamousset a baterie Montplanu stačí k ochraně ústupu armády. (…) “ Pokud je nám známo, kromě snad předpokladu stavby navršených zemních baterií v případě konfliktu, z tohoto váhání nevzešlo nic konkrétního.

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