Cognelot (fort du)[c187][47.807864 N, 5.402928 E]

Place de Langres, sud-est de la ville, 1874-1877. 482 m/alt. Dénommé fort Vercingétorix. Pilier sud de la place de Langres, il devait, notamment, protéger le nœud ferroviaire de Chalindrey. Nous avons là un grand fort à enveloppe méritant parfaitement cette désignation car, et c’est exceptionnel, le réduit est isolé dans cette enveloppe ou bien, en d’autres termes, aucun front de ce réduit ne constitue une partie du périmètre extérieur. L’enveloppe occupe un vaste espace trapézoïdal cerné d’un fossé sec. Pas moins de sept traverses-abris et trois casemates à tir direct y sont réparties de manière à avoir des actions tous azimuts. Ces casemates possèdent dans leur prolongement un local à usage mixte casernement/magasin, avec un âtre. L’enveloppe abritait également un corps de garde, deux hangars d’artillerie et un ou plusieurs baraquements. Deux des traverses-abris de cette enveloppe sont coiffées d’un observatoire bétonné. À quelques mètres de l’entrée du réduit, sous la contrescarpe, un petit magasin sous roc dont la tête de monte-charge débouche dans l’enveloppe sous la forme d’un gros dôme bétonné a été creusé. La forme du réduit peut être comparée à un rectangle brisé au tiers de sa longueur. La défense de son périmètre est assez remarquable, la brisure entraînant un angle rentrant lequel a été pourvu d’un coffre double d’escarpe probablement unique dans le système Séré de Rivières dans la mesure où, l’angle saillant de la galerie de liaison entre les caves à canons se situe au point de jonction du prolongement des lignes d’escarpe, il ne peut selon-nous être question de courtine. Les spécialistes trancheront la question. Ce coffre enfile les fronts I-II et II-III. Le saillant IV (cette numérotation inclus l’angle rentrant comptabilisé II) s’est vu construire un coffre double de contrescarpe, mais saillant dans le fossé. En clair, ce coffre n’est pas blotti dans un angle, mais s’avance dans le fossé. Ses feux, battant les fronts III-IV et IV-V, ne se croisent donc pas comme il en est dans une disposition classique. Cette disposition implique un recoupement de l’angle de l’escarpe laquelle, à l’instar de la pointe de la batterie de l’Éperon à Nancy, compte ainsi un angle de plus que sa contrescarpe. Le reste du périmètre du réduit, les fronts V-VI et de gorge, se trouve sous les feux d’un second coffre de contrescarpe, plus classique ce dernier, encore que de tels organes en maçonneries de moellons ne sont pas légion. Ces deux coffres sont devancés par leur propre fossé lequel est traversé perpendiculairement par la gaine d’accès qui, crénelée, y forme caponnière. Nous n’avons rencontré cette disposition nulle part ailleurs. L’entrée du réduit s’ouvre au creux d’une petite courtine dont les flancs ne comprennent aucun créneau de défense. L’escarpe est attachée. Le porche d’entrée se prolonge par un tunnel de part et d’autre duquel se trouvent des logettes, dont une abrite un puits d’eau potable. Derrière ces logettes, deux magasins à poudre alignant quatre créneaux à lampe étaient censés contenir, l’un 100 tonnes et l’autre, plus court de 2,25 m, 80.600 kg. Le tunnel débouche dans une cour en puits de lumière bordée de chaque côté de sept chambrées sur un seul niveau. À l’opposé, un second passage en tunnel dessert quelques magasins avant de déboucher dans une seconde cour, en puits de lumière également, mais plus petite et orientée selon la brisure du périmètre. Quatre grandes travées, dont une contenant un four de 300 rations, se situent sur la droite et des magasins divers leur font face. Aucune des travées n’a le berceau de sa voûte souligné par un arc de maçonnerie en façade. Chaque chambrée était chauffée par un âtre. Une galerie de circulation à l’arrière de tous ces locaux permettait d’atteindre n’importe quel organe du réduit sans avoir traverser une de ces deux cours. Le coffre double d’escarpe possède une poterne protégée par un fossé que franchissait une passerelle escamotable. Il était possible d’accéder par là à l’enveloppe. La défense perpendiculaire des embrasures des canons a été modifiée. Deux goulottes pour grenades donnent dans chacun des créneaux de pied. Cette modification n’est pas visible de l’extérieur où les créneaux originels ont été conservés. Côté intérieur, le renforcement percé des goulottes est exceptionnellement soigné, avec enduit cimenté et faux joints de maçonnerie. L’évacuation des eaux usées du fort apparaît dans le fruit du créneau de pied gauche. Seize traverses-abris, dont cinq enracinées garnissent la rue du rempart. Le front de gorge en est dépourvu. Les trois situées en arrière du saillant III sont autant de casemates à tir direct. En fait, le Cognelot devait recevoir deux casemates cuirassées en fonte dure Mle 1878 et une troisième dans son enveloppe ; ce ne fut jamais réalisé. Les dessus du massif central sont organisés en crête d’infanterie. Deux escaliers en colimaçon permettaient d’y accéder. Néanmoins, l’élément le plus remarquable des dessus est sans conteste le poste de communications optiques casematé à trois directions. Les deux créneaux de droite sont très grands, environ 100 cm de côté. L’un communiquait avec le fort de Chailluz à Besançon (75 km) et l’autre avec le réduit du Mont Afrique à Dijon (65 km) Sous toutes réserves, il est possible que le dernier créneau, le plus à gauche et de dimensions moindres, ait été orienté vers le fort de Plesnoy distant de 11.800 m. Certains éléments de l’héliostat sont encore en place. À l’extérieur du poste optique, une table d’orientation, avec circulaire en bronze indiquant nombre de directions, devait servir pour des exercices. La circulaire en question avait été récupérée par un villageois lequel l’a pieusement conservée jusqu’à la création de l’association de sauvegarde du fort en janvier 2002. Depuis 1995, le fort est la propriété de la communauté de communes du pays de Chalindrey. Il est d’ailleurs localement appelé "fort de Chalindrey". Pour l’avoir visité en août 2000 puis en octobre 2007, nous sommes à même d’apprécier l’énorme travail effectué par les bénévoles de l’association "l’Effort du Cognelot". À leur crédit, il convient d’épingler le fait d’avoir intégré le cercle restreint des forts dont le four à pain est opérationnel. Il va sans dire que le Cognelot vaut le déplacement. Une batterie anenxe, dite "du Pailly".

Festung von Langres, südöstlich der Stadt, 1874–1877. 482 m ü. M. Genannt Fort Vercingétorix. Als südlicher Pfeiler des Platzes von Langres sollte es insbesondere den Eisenbahnknotenpunkt Chalindrey schützen. Es handelt sich um ein großes Fort mit einem Ring, das diese Bezeichnung durchaus verdient, da – und das ist eine Ausnahme – die Schanze innerhalb dieses Rings isoliert ist, d. h., keine Front dieser Schanze bildet Teil des äußeren Umfangs. Der Ring nimmt einen riesigen trapezförmigen Raum ein, der von einem trockenen Graben umgeben ist. Nicht weniger als sieben Schutztraversen und drei Kasematten mit direktem Feuer sind dort so verteilt, dass ein Rundumangriff möglich ist. Diese Kasematten verfügen in ihrer Verlängerung über einen Raum mit Feuerstelle, der als gemischte Unterkunft/Lager genutzt wird. Der Ring beherbergte außerdem ein Wachhaus, zwei Artilleriehangars und eine oder mehrere Kasernen. Zwei der geschützten Querbögen dieser Hülle sind mit einem Betonobservatorium gekrönt. Wenige Meter vom Eingang der Redoute entfernt, unter der Kontereskarpe, wurde ein kleines Felsmagazin ausgegraben, dessen Lastenaufzugskopf in Form einer großen Betonkuppel in die Hülle mündet. Die Form der Redoute kann mit einem Rechteck verglichen werden, das auf einem Drittel seiner Länge unterbrochen ist. Die Verteidigung ihres Umfangs ist recht bemerkenswert; der Bruch führte zu einem einspringenden Winkel, der mit einer doppelten Kontereskarpentruhe versehen war, die im System von Séré de Rivières wahrscheinlich einzigartig ist, da sich der vorspringende Winkel des Verbindungsstollens zwischen den Geschützkellern am Schnittpunkt der Verlängerung der Skarpenlinien befindet; unserer Meinung nach kann es sich nicht um eine Kurtine handeln. Fachleute werden die Frage entscheiden. Diese Truhe flankiert die Fronten I-II und II-III. Der vorspringende Winkel IV (diese Nummerierung schließt den als II gezählten einspringenden Winkel ein) hatte eine doppelte Kontereskarpentruhe, die jedoch in den Graben hineinragte. Mit anderen Worten: Dieser Kasten liegt nicht in einer Ecke, sondern ragt in den Graben hinein. Seine Feuer, die die Fronten III-IV und IV-V treffen, kreuzen sich daher nicht, wie es bei einer klassischen Anordnung der Fall ist. Diese Anordnung impliziert eine Kreuzung der Winkel der Böschung, die somit, wie die Spitze der Batterie von Éperon in Nancy, eine Ecke mehr hat als ihre Kontereskarpe. Der restliche Umfang der Redoute, die Fronten V-VI und die Schlucht, liegen unter dem Feuer eines zweiten Kontereskarpenkastens, letzterer klassischer, obwohl solche Bruchsteinmauerwerke nicht allzu zahlreich sind. Diesen beiden Kästen geht ihr eigener Graben voraus, der senkrecht vom Zugangsschacht gekreuzt wird, der mit Zinnen versehen eine Kaponniere bildet. Diese Anordnung haben wir nirgendwo sonst angetroffen. Der Eingang zur Redoute öffnet sich in den Hohlraum einer kleinen Ringmauer, deren Seiten keine Verteidigungszinnen aufweisen. Die Böschung ist angebaut. Der Eingangsbereich führt in einen Tunnel, auf dessen beiden Seiten sich Kabinen befinden, von denen eine einen Trinkwasserbrunnen beherbergt. Dahinter befanden sich zwei Pulvermagazine mit vier Laternenzinnen, von denen eines 100 Tonnen und das andere, 2,25 m kürzer, 80.600 kg fassen sollte. Der Tunnel mündet in einen Hof mit Lichtschacht, der auf beiden Seiten von sieben einstöckigen Baracken begrenzt wird. Gegenüber führt ein zweiter Tunnelgang zu einigen Magazinen und mündet in einen zweiten Hof, ebenfalls mit Lichtschacht, aber kleiner und entsprechend der Lücke im Umfang ausgerichtet. Vier große Buchten, von denen eine einen Ofen für 300 Rationen enthält, befinden sich auf der rechten Seite, und ihnen gegenüber liegen verschiedene Magazine. Keine der Buchten hat die Wiege ihres Gewölbes, die durch einen gemauerten Bogen an der Fassade hervorgehoben wird. Jede Baracke wurde durch einen Herd beheizt. Eine Umlaufgalerie an der Rückseite all dieser Räume ermöglichte den Zugang zu jedem Teil der Redoute, ohne einen dieser beiden Höfe überqueren zu müssen. Das doppelte Steilwandgewölbe verfügt über eine Ausfallpforte, die durch einen Graben geschützt ist, über den ein einziehbarer Steg führt. Von dort aus war es möglich, die Hülle zu erreichen. Die senkrechte Verteidigung der Kanonenschießscharten wurde verändert. In jede der Fußzinnungen münden zwei Granatrutschen. Von außen, wo die ursprünglichen Zinnen erhalten geblieben sind, ist diese Veränderung nicht sichtbar. Auf der Innenseite ist die durchbrochene Verstärkung der Rutschen mit Zementputz und falschen Mauerwerksfugen außergewöhnlich sauber. Der Abwasserabfluss des Forts ist im Frucht der linken Fußzinne sichtbar. Sechzehn Schutzübergänge, von denen fünf verwurzelt sind, säumen die Wallstraße. Die Schluchtfront weist keine auf. Die drei hinter Vorsprung III gelegenen Kasematten sind allesamt direkt beschussbar. Eigentlich sollte Cognelot zwei Panzerkasematten aus Hartgusseisen Mle 1878 und eine dritte in seiner Hülle erhalten; dies wurde jedoch nie realisiert. Die oberen Teile des Zentralmassivs sind in Form eines Infanteriekamms organisiert. Zwei Wendeltreppen ermöglichten den Zugang zu ihnen. Das bemerkenswerteste Element der oberen Teile ist jedoch zweifellos der optische Kommunikationsposten mit drei Kasematten. Die beiden rechten Zinnen sind sehr breit, etwa 100 cm breit auf jeder Seite. Eine war mit dem Fort Chailluz in Besançon (75 km) verbunden und die andere mit der Redoute Mont Afrique in Dijon (65 km). Mit allen gebotenen Vorbehalten ist es möglich, dass die letzte, am weitesten links liegende und kleinere Zinne auf das 11.800 m entfernte Fort Plesnoy ausgerichtet war. Einige Elemente des Heliostaten sind noch vorhanden. Außerhalb des optischen Postens sollte ein Orientierungstisch mit einem bronzenen Rundschreiben, das mehrere Richtungen anzeigte, für Übungen verwendet werden. Das betreffende Rundschreiben wurde von einem Dorfbewohner geborgen und sorgfältig aufbewahrt, bis im Januar 2002 der Verein zur Erhaltung des Forts gegründet wurde. Seit 1995 ist das Fort Eigentum der Gemeinde Chalindrey. Im Volksmund wird es auch „Fort de Chalindrey“ genannt. Nach unseren Besuchen im August 2000 und im Oktober 2007 können wir die enorme Arbeit der Freiwilligen des Vereins „Effort du Cognelot“ würdigen. Zu ihrer Ehre muss man sagen, dass sie zu der erlesenen Gruppe von Forts gehören, deren Brotbackofen in Betrieb ist. Es versteht sich von selbst, dass Cognelot eine Reise wert ist. Eine Nebenbatterie, genannt „du Pailly“.

Vesting van Langres, ten zuidoosten van de stad, 1874-1877. 482 m/hoogte. Fort Vercingétorix genoemd. De zuidelijke pijler van het Plein van Langres was met name bedoeld om het knooppunt Chalindrey te beschermen. Dit is een groot fort met een omhulsel, dat deze benaming volledig verdient omdat, en dit is uitzonderlijk, de redoute binnen dit omhulsel geïsoleerd ligt, of, met andere woorden, geen enkele voorkant van dit omhulsel maakt deel uit van de buitenomtrek. Het omhulsel beslaat een enorme trapeziumvormige ruimte omgeven door een droge gracht. Niet minder dan zeven traverses en drie kazematten met directe vuurkracht zijn daar verdeeld om een alomvattende werking te hebben. Deze kazematten hebben in het verlengde een ruimte die gebruikt wordt als gemengde barakken/opslagruimten, met een haard. De schans huisvestte ook een wachthuis, twee artilleriehangars en een of meer barakken. Twee van de beschutte traversen van deze schans zijn bekroond met een betonnen observatorium. Een paar meter van de ingang van de redoute, onder de contrescarp, is een kleine steenopslagplaats uitgegraven, waarvan de kop van de goederenlift in de schans uitmondt in de vorm van een grote betonnen koepel. De vorm van de redoute kan worden vergeleken met een rechthoek die over een derde van zijn lengte is gebroken. De verdediging van de omtrek is opmerkelijk; de breuk resulteerde in een inspringende hoek die was voorzien van een dubbele scarp-kist, waarschijnlijk uniek in het Séré de Rivières-systeem, aangezien de uitspringende hoek van de verbindingsgalerij tussen de geschutkelders zich bevindt op het kruispunt van de verlenging van de scarp-lijnen; naar onze mening kan hier geen sprake zijn van een gordijnmuur. Specialisten zullen hierover beslissen. Deze kist omsluit de fronten I-II en II-III. Salient IV (deze nummering omvat de inspringende hoek, geteld als II) had een dubbele contrescarp-box, die echter in de gracht uitstak. Met andere woorden, deze box ligt niet in een hoek, maar loopt de gracht in. De vuren ervan, die de fronten III-IV en IV-V raken, kruisen elkaar daarom niet zoals het geval is bij een klassieke opstelling. Deze opstelling impliceert een snijpunt van de hoek van de steile helling, die, net als de punt van de Éperon-batterij in Nancy, dus één hoek meer heeft dan de contrescarp. De rest van de omtrek van de redoute, fronten V-VI en de kloof, ligt onder het vuur van een tweede contrescarp-box, de laatste klassieker, hoewel dergelijke puinmetselwerkstructuren niet talrijk zijn. Deze twee boxen worden voorafgegaan door hun eigen gracht, die loodrecht wordt gekruist door de toegangsschacht die, gekanteeld, een caponnière vormt. We zijn deze opstelling nergens anders tegengekomen. De ingang van de schans komt uit in de holte van een kleine ringmuur waarvan de zijkanten geen verdedigingswerken bevatten. De steile helling is aangebouwd. De ingangsportiek loopt door in een tunnel met aan weerszijden hokjes, waarvan er één een drinkwaterput herbergt. Achter deze hokjes bevonden zich twee kruitmagazijnen, uitgelijnd met vier lampenkantelen, die naar verwachting 100 ton en 80.600 kg zouden kunnen bevatten. De tunnel komt uit op een binnenplaats met een lichtschacht, aan weerszijden begrensd door zeven barakken op één niveau. Daartegenover bevindt zich een tweede tunnelgang die enkele magazijnen bedient alvorens uit te komen op een tweede binnenplaats, eveneens met een lichtschacht, maar kleiner en georiënteerd volgens de breuk in de omtrek. Vier grote traveeën, waarvan er één een oven voor 300 rantsoenen bevat, bevinden zich aan de rechterkant en verschillende magazijnen staan er tegenover. Geen van de traveeën heeft de wieg van het gewelf gemarkeerd door een gemetselde boog op de gevel. Elke barak werd verwarmd door een haard. Een circulatiegalerij aan de achterzijde van al deze ruimtes gaf toegang tot elk deel van de redoute zonder een van deze twee binnenplaatsen te hoeven oversteken. Het dubbele gewelf van de steile wand heeft een achterpoort, beschermd door een gracht, die wordt overspannen door een intrekbare loopbrug. Van daaruit was de schans te bereiken. De loodrechte verdediging van de kanonschietgaten is aangepast. Twee granaatkokers monden uit in elk van de kantelen aan de voet. Deze aanpassing is niet zichtbaar van buitenaf, waar de oorspronkelijke kantelen bewaard zijn gebleven. Aan de binnenzijde is de doorboorde wapening van de kokers uitzonderlijk netjes, met gecementeerd pleisterwerk en valse metselwerkvoegen. De afvoer van afvalwater van het fort is zichtbaar in de vrucht van de kantelen aan de linkervoet. Zestien schuilplaatsen, waarvan er vijf geworteld zijn, staan langs de walstraat. De voorkant van de kloof is er niet. De drie achter saillant III zijn allemaal kazematten met directe vuurkracht. De Cognelot zou in feite twee gepantserde kazematten van hard gietijzer (Mle 1878) en een derde in zijn omhulsel krijgen; dit is nooit gerealiseerd. De bovenste delen van het centrale massief zijn georganiseerd in een infanteriekam. Twee wenteltrappen gaven toegang. Het meest opmerkelijke element van de bovenste delen is echter ongetwijfeld de drievoudige kazematvormige optische communicatiepost. De twee rechter kantelen zijn zeer groot, ongeveer 100 cm aan elke kant. Eén communiceerde met het fort Chailluz in Besançon (75 km) en de andere met de schans Mont Afrique in Dijon (65 km). Met alle voorbehoud is het mogelijk dat de laatste kantelen, de meest linkse en kleinere, gericht waren op het fort Plesnoy, 11.800 m verderop. Enkele elementen van de heliostaat zijn nog steeds aanwezig. Buiten de optische post zou een oriëntatietafel, met een bronzen cirkel die verschillende richtingen aangaf, gebruikt worden voor oefeningen. De betreffende circulaire werd teruggevonden door een dorpeling die hem vroom bewaarde tot de oprichting van de vereniging voor het behoud van het fort in januari 2002. Sinds 1995 is het fort eigendom van de gemeente Chalindrey. Het wordt lokaal ook wel "Fort de Chalindrey" genoemd. Na een bezoek in augustus 2000 en opnieuw in oktober 2007 hebben we het enorme werk van de vrijwilligers van de vereniging "Effort du Cognelot" kunnen waarderen. Het is vermeldenswaard dat ze zich hebben aangesloten bij de selecte groep forten waarvan de broodoven operationeel is. Het spreekt voor zich dat Cognelot de reis waard is. Een bijgebouwbatterij, genaamd "du Pailly".

Fortress of Langres, southeast of the city, 1874-1877. 482 m/alt. Called fort Vercingétorix. The southern pillar of Langres Square, it was intended, in particular, to protect the Chalindrey railway junction. This is a large fort with an envelope, perfectly deserving of this designation because, and this is exceptional, the redoubt is isolated within this envelope, or, in other words, no front of this redoubt constitutes part of the outer perimeter. The envelope occupies a vast trapezoidal space surrounded by a dry ditch. No fewer than seven shelter traverses and three direct-fire casemates are distributed there so as to have all-round action. These casemates have in their extension a room used for mixed barracks/storerooms, with a hearth. The envelope also housed a guardhouse, two artillery hangars, and one or more barracks. Two of the sheltered traverses of this envelope are topped with a concrete observatory. A few meters from the entrance to the redoubt, under the counterscarp, a small rock magazine has been dug out, the head of whose freight elevator opens into the envelope in the form of a large concrete dome. The shape of the redoubt can be compared to a rectangle broken at a third of its length. The defense of its perimeter is quite remarkable, the break resulting in a re-entrant angle which was provided with a double scarp chest, probably unique in the Séré de Rivières system, insofar as the salient angle of the connecting gallery between the gun cellars is located at the junction point of the extension of the scarp lines; in our opinion, it cannot be a question of a curtain wall. Specialists will decide the question. This chest enfilades fronts I-II and II-III. Salient IV (this numbering includes the re-entrant angle counted as II) had a double counterscarp box built, but projecting into the ditch. In other words, this box is not nestled in a corner, but advances into the ditch. Its fires, beating fronts III-IV and IV-V, therefore do not intersect as is the case in a classic arrangement. This arrangement implies an intersection of the angle of the scarp which, like the tip of the Éperon battery in Nancy, thus has one more angle than its counterscarp. The rest of the perimeter of the redoubt, fronts V-VI and the gorge, is under the fires of a second counterscarp box, the latter more classic, although such rubble masonry structures are not legion. These two boxes are preceded by their own ditch which is crossed perpendicularly by the access shaft which, crenellated, forms a caponier. We have not encountered this arrangement anywhere else. The entrance to the redoubt opens into the hollow of a small curtain wall whose sides do not include any defensive battlements. The escarpment is attached. The entrance porch extends into a tunnel on either side of which are cubicles, one of which houses a drinking water well. Behind these cubicles, two powder magazines aligned with four lamp battlements were supposed to contain, one 100 tons and the other, 2.25 m shorter, 80,600 kg. The tunnel opens into a courtyard with a light well bordered on each side by seven barracks on a single level. Opposite, a second tunnel passage serves some magazines before opening into a second courtyard, also with a light well, but smaller and oriented according to the break in the perimeter. Four large bays, one of which contains a furnace for 300 rations, are located on the right and various magazines face them. None of the bays have the cradle of its vault highlighted by a masonry arch on the facade. Each barracks was heated by a hearth. A circulation gallery at the rear of all these rooms allowed access to any part of the redoubt without having to cross one of these two courtyards. The double escarpment vault has a postern protected by a ditch crossed by a retractable footbridge. It was possible to access the envelope from there. The perpendicular defense of the cannon embrasures has been modified. Two grenade chutes open into each of the foot crenellations. This modification is not visible from the exterior where the original crenellations have been preserved. On the interior side, the pierced reinforcement of the chutes is exceptionally neat, with cemented plaster and false masonry joints. The drainage of wastewater from the fort appears in the fruit of the left foot crenellation. Sixteen shelter-crossings, five of which are rooted, line the rampart street. The gorge front is devoid of them. The three located behind salient III are all direct-fire casemates. In fact, the Cognelot was to have received two armored casemates in hard cast iron Mle 1878 and a third in its envelope; this was never realized. The upper parts of the central massif are organized into an infantry crest. Two spiral staircases provided access to them. Nevertheless, the most remarkable element of the upper parts is undoubtedly the three-way casemated optical communications post. The two right-hand battlements are very large, approximately 100 cm on each side. One communicated with the Chailluz fort in Besançon (75 km) and the other with the Mont Afrique redoubt in Dijon (65 km). With all due reservations, it is possible that the last battlement, the one furthest to the left and of smaller dimensions, was oriented towards the Plesnoy fort, 11,800 m away. Some elements of the heliostat are still in place. Outside the optical post, an orientation table, with a bronze circular indicating several directions, was to be used for exercises. The circular in question had been recovered by a villager who piously preserved it until the creation of the association for the preservation of the fort in January 2002. Since 1995, the fort has been the property of the community of communes of the Chalindrey region. It is also locally called "Fort de Chalindrey". Having visited it in August 2000 and again in October 2007, we are able to appreciate the enormous work carried out by the volunteers of the "Effort du Cognelot" association. To their credit, it is worth noting that they have joined the select group of forts whose bread oven is operational. It goes without saying that the Cognelot is worth the trip. An annex battery, called "du Pailly".

Pevnost Langres, jihovýchodně od města, 1874-1877. 482 m/n. m. Nazývané pevnost Vercingétorix. Jižní pilíř náměstí Langres byl určen zejména k ochraně železničního uzlu Chalindrey. Jedná se o velkou pevnost s obvodovým pláštěm, která si toto označení dokonale zaslouží, protože, a to je výjimečné, reduta je uvnitř této pláště izolována, neboli jinými slovy, žádná přední strana této reduty netvoří součást vnějšího obvodu. Obvod zabírá rozsáhlý lichoběžníkový prostor obklopený suchým příkopem. Je zde rozmístěno nejméně sedm přístřešků a tři kasemat pro přímou palbu, aby byl zajištěn všestranný útok. Tyto kasematy mají ve svém prodloužení místnost sloužící jako smíšená kasárna/sklady s krbem. V obvodovém plášti se také nacházela strážnice, dva dělostřelecké hangáry a jedna nebo více kasáren. Dva z chráněných traverz této obálky jsou zakončeny betonovou pozorovatelnou. Několik metrů od vchodu do reduty, pod protisrázem, je vykopán malý skalní sklad, jehož hlava nákladního výtahu ústí do obálky ve tvaru velké betonové kopule. Tvar reduty lze přirovnat k obdélníku přerušenému v jedné třetině své délky. Obrana jejího obvodu je poměrně pozoruhodná, přičemž přerušení vede k úhlu vstupu, který byl opatřen dvojitou srázovou truhlou, pravděpodobně unikátní v systému Séré de Rivières, protože vyčnívající úhel spojovací galerie mezi dělovými sklepy se nachází v místě spojení prodloužení srázových linií; podle našeho názoru se nemůže jednat o obvodovou zeď. O této otázce rozhodnou specialisté. Tato hrudní enfiláda zahrnuje čela I-II a II-III. Výběžek IV (toto číslování zahrnuje úhel vstupu počítaný jako II) měl vybudovanou dvojitou protisrázovou truhlu, ale vyčnívající do příkopu. Jinými slovy, tato schránka není zasazena do rohu, ale zasahuje do příkopu. Její palby, směřující do front III-IV a IV-V, se proto neprotínají, jak je tomu u klasického uspořádání. Toto uspořádání implikuje průnik úhlu srázu, který má, stejně jako špička Éperonovy baterie v Nancy, o jeden úhel více než jeho protisráz. Zbytek obvodu reduty, fronty V-VI a rokle, je pod palbou druhé schránky protisrázu, která je klasičtější, ačkoli takovéto suťové zdivo není mnoho. Těmto dvěma schránkám předchází vlastní příkop, který kolmo protíná přístupová šachta, jež s cimbuřím tvoří kaponiéru. S tímto uspořádáním jsme se nikde jinde nesetkali. Vchod do reduty se otevírá do prohlubně malé obvodové zdi, jejíž strany neobsahují žádné obranné cimbuří. Sráz je připojen. Vstupní veranda se rozprostírá do tunelu, po obou stranách kterého se nacházejí kóje, z nichž jedna obsahuje studnu pitné vody. Za těmito kójemi měly dva sklady prachu zarovnané se čtyřmi lampovými cimbuřími pojmout, jeden o hmotnosti 100 tun a druhý, o 2,25 m kratší, 80 600 kg. Tunel se otevírá do nádvoří se světelnou studnou, ohraničeného na každé straně sedmi kasárnami na jedné úrovni. Naproti tomu druhá chodba tunelu slouží některým skladům, než se otevírá do druhého nádvoří, rovněž se světelnou studnou, ale menší a orientované podle přerušení obvodu. Vpravo se nacházejí čtyři velké zátoky, z nichž jedna obsahuje pec na 300 dávek, a k nim směřují různé sklady. Žádná z kójí nemá kolébku své klenby zvýrazněnou zděným obloukem na fasádě. Každá kasárna byla vytápěna krbem. Cirkulační galerie v zadní části všech těchto místností umožňovala přístup do jakékoli části reduty, aniž by bylo nutné přejít jedno z těchto dvou nádvoří. Dvojitá srázová klenba má zadní část chráněnou příkopem, přes který vede zatahovací lávka. Odtud bylo možné se dostat do obálky. Kolmá obrana střílen pro děla byla upravena. Do každého z cimbuří v patách ústí dva granátové žlaby. Tato úprava není zvenčí viditelná, protože původní cimbuří se zachovalo. Na vnitřní straně je proražená výztuž žlabů mimořádně úhledná, s cementovou omítkou a falešnými zdivovými spárami. Odvod odpadních vod z pevnosti je patrný v plodech levého cimbuří v patách. Ulici valu lemuje šestnáct krytých přechodů, z nichž pět je zakořeněných. Čelo rokle je postrádá. Tři, které se nacházejí za výběžkem III, jsou všechny kasematy pro přímou palbu. Cognelot měl ve skutečnosti dostat dvě obrněné kasematy z tvrdé litiny Mle 1878 a třetí v obálce; k tomu však nikdy nedošlo. Horní části centrálního masivu jsou uspořádány do pěchotního erbu. Přístup k nim zajišťovaly dvě točitá schodiště. Nicméně nejpozoruhodnějším prvkem horních částí je bezpochyby trojcestný kasematový optický komunikační stanoviště. Dvě pravá cimbuří jsou velmi rozsáhlá, na každé straně přibližně 100 cm. Jedno komunikovalo s pevností Chailluz v Besançonu (75 km) a druhé s redutou Mont Afrique v Dijonu (65 km). Se všemi výhradami je možné, že poslední cimbuří, to nejdále vlevo a menších rozměrů, bylo orientováno směrem k pevnosti Plesnoy, vzdálené 11 800 m. Některé prvky heliostatu jsou stále na místě. Vně optického stanoviště měl být pro cvičení použit orientační stůl s bronzovým kruhem ukazujícím několik směrů. Dotyčný oběžník nalezl jeden vesničan, který jej zbožně uchovával až do založení sdružení pro ochranu pevnosti v lednu 2002. Od roku 1995 je pevnost majetkem komunity regionu Chalindrey. Místně se jí také říká „Fort de Chalindrey“. Poté, co jsme ji navštívili v srpnu 2000 a znovu v říjnu 2007, můžeme ocenit obrovskou práci, kterou odvedli dobrovolníci sdružení „Effort du Cognelot“. K jejich cti stojí za zmínku, že se připojili k vybrané skupině pevností, jejichž pec na chléb je v provozu. Je samozřejmé, že Cognelot stojí za návštěvu. Přístavba s názvem „du Pailly“.

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