Place de Chamousset, est-nord-est de la ville, 1875-1876. 965 à 1 012 m/alt. 609 hommes et 28 pièces. Beau fort, pratiquement rectangulaire, établi en cinq terrasses successives, avec le casernement de la troupe le coupant en deux dans sa petite médiane. Il est conçu comme un fort d'arrêt avec des plates-formes orientées tous azimuts. L'entrée est précédée par une demie caponnière détachée. Ce cas de figure, rarissime pour ne pas écrire unique, implique, contrairement au fort d'Hauteville, de n'avoir pour mission que la défense d'un seul tronçon de fossé, à savoir la demie gorge est. La défense de la demie gorge ouest est partagée entre des créneaux perpendiculaires situés à droite dès après l'entrée d'escarpe puis est dominée sur toute sa longueur par un mur à bahut. Notons que cette demie caponnière détachée a aussi la charge de la défense rapprochée du passage de l'entrée et n'est aucunement reliée par galerie au fort. Lorsque l'on rentre dans le fort, on se trouve presque face aux écuries, lesquelles possèdent dix auges, ce qui est nettement au-dessus de la moyenne. Il faut dire que le moindre mouvement de pièce dans ce fort à terrasses ne pouvait se passer de la force de chevaux. Sur la droite, une succession de sept casemates de défense devait empêcher un ennemi d'approcher la demie caponnière détachée en mettant à profit ses angles morts. On trouve aussi à ce niveau les magasins aux vivres et un escalier permet de rejoindre le casernement principal comportant sept grandes chambres, très hautes de plafond. Nous sommes alors à peu près au centre du fort, ce casernement, à un seul niveau, étant orienté globalement nord-sud. Devant lui, un peu sur sa gauche et au même niveau, un passage couvert donne dans une petite cour bordée par des locaux dévolus à l'armement. Ces locaux, sensibles, étant susceptibles d'être atteints, on les a placés en retrait d'un couloir ouvert sur trois larges baies qu'il était prévu d'obturer en cas de conflit. Face à elles, une traverse abri a très certainement abrité un poste de communications optiques. La culée de cette traverse montre quatre créneaux rebouchés et à côté de la cheminée de l'héliostat, le passage de la tringlerie. Depuis cette même traverse, on accède à un premier sous-sol puis au premier étage du casernement ouest. Cet escalier se prolonge jusqu'au rez-de-chaussée ce qui en fait un passage protégé sur quatre niveaux. Le couloir de circulation à l'arrière de ce casernement est courbe sur la largeur de chacune des travées, pour mieux résister à la poussée des terres. Ici, le four a pain, détruit, pouvait cuire 250 rations par jour. À l'extrémité nord de ce casernement, un petit poste optique en béton simple a été aménagé. Il comprend trois créneaux mais pas de table pour l'appareillage ni de puits d'héliostat. Le créneau vers le fort du Mont allant buter droit dans le mur à bahut de l'escarpe de gorge, un passage avec portes métalliques a été ménagé dans ce dernier. Remontant dans le casernement principal, on y notera, dans le couloir arrière de circulation, des contreforts en maçonnerie qui sont autant de petites arches de soutènement. Sur sa droite, ce casernement comprend de vastes locaux du génie ainsi qu'une petite caponnière occupant le centre du long front rectiligne constitué par l'escarpe sud. Cette caponnière est accessible par un petit escalier rampe et son ciel est fait d'une terrasse avec mur à bahut et saillies aux angles afin de pouvoir battre les angles morts, saillies propres à provoquer une querelle de sémantique. Le bâtiment de l'infirmerie, très important, est situé une terrasse plus haut donc plus à l'est. On y repère de rares vestiges de calorifères. Plus haut encore, une autre cour avec le casernement des officiers derrière lequel nos trouvons le principal magasin à poudre. Dans le local de stockage de ce dernier, on relèvera un retrait dans le plafond pour le passage des portes du puits à lumière ce qui constitue sans conteste une originalité. La chambre aux lampes a conservé toutes ses parties boisées, escaliers et plancher. Cette chambre aux lampes dessert, outre les trois créneaux à lampe du magasin à poudre, celui du magasin aux cartouches, contigu et impressionnant de hauteur. Un demi niveau plus haut, on trouve un groupe de trois locaux dont les deux externes ont un créneau à lampe occupant la place d'une demie fenêtre et qui devait être desservi par l'extérieur…dispositif bizarroïde et probablement unique ayant des allures de pis-aller. Enfin, terminant notre ratissage vers l'est, on arrive au dernier niveau de traverses-abris duquel on peut accéder aux deux petites caponnières doubles occupant les angles du chevron des deux fronts orientés à l'est, caponnières reliées par un chemin couvert bien agréable à parcourir. Les longueurs cumulées des escarpes totalisent 700 m. Montperché pouvait battre à la fois l'amont de la vallée de l'Isère et celui de l'Arc. Depuis 2005, c'est propriété privée habitée. Un projet d'aménagement de chambres d'hôtes est en cours (10/2007). Ce fort, original à plus d'un titre, mérite assurément une visite. Une batterie annexe en contrebas, sans la moindre maçonnerie. (www.fort-de-montperche.com).
Festung von Chamousset, ost-nordöstlich der Stadt, 1875-1876. 965 bis 1 012 M/ü M. 609 Mann und 28 Geschütze. Schönes Fort, praktisch rechteckig, auf fünf aufeinanderfolgenden Terrassen errichtet, wobei die Truppenunterkunft es in seiner kleinen Mitte in zwei Hälften teilt. Es ist als Sperrfort mit in alle Richtungen ausgerichteten Geschützplattformen konzipiert. Dem Eingang ist eine abgesetzte halbe Kaponniere vorgelagert. Dieser Fall, äußerst selten, um nicht zu sagen einzigartig, bedeutet im Gegensatz zum Fort Hauteville, dass es nur die Aufgabe hat, einen einzigen Grabenabschnitt zu verteidigen, nämlich die östliche Halshälfte. Die Verteidigung der westlichen Halshälfte teilt sich zwischen rechtwinkligen Schießscharten, die sich rechts gleich nach dem Eskarpeneingang befinden, und wird auf ihrer gesamten Länge von einer Brustwehr beherrscht. Beachten wir, dass diese abgesetzte halbe Kaponniere auch für die Nahverteidigung des Eingangsdurchgangs zuständig ist und keineswegs durch einen Gang mit dem Fort verbunden ist. Wenn man in das Fort eintritt, steht man fast den Stallungen gegenüber, die zehn Tröge besitzen, was deutlich über dem Durchschnitt liegt. Man muss sagen, dass die geringste Geschützbewegung in diesem Terrassenfort nicht ohne Pferdekraft auskommen konnte. Rechts sollte eine Abfolge von sieben Verteidigungskasematten einen Feind daran hindern, sich der abgesetzten halben Kaponniere zu nähern, indem er deren tote Winkel ausnutzte. Auf dieser Ebene findet man auch die Proviantmagazine und eine Treppe ermöglicht den Zugang zur Hauptunterkunft mit sieben großen, sehr hochräumigen Kammern. Wir befinden uns dann ungefähr in der Mitte des Forts, diese Unterkunft, auf einer einzigen Ebene, ist insgesamt nord-süd ausgerichtet. Davor, etwas links und auf gleicher Höhe, führt ein überdeckter Durchgang in einen kleinen Hof, der von Räumen für die Bewaffnung gesäumt ist. Da diese empfindlichen Räume möglicherweise getroffen werden könnten, hat man sie zurückversetzt von einem Gang, der zu drei großen Öffnungen hin offen ist, die im Konfliktfall verschlossen werden sollten. Ihnen gegenüber hat eine Traversen-Schutzraum sehr wahrscheinlich einen optischen Meldeplatz beherbergt. Das Widerlager dieser Traverse zeigt vier zugemauerte Schießscharten und neben dem Kamin des Heliostaten den Durchlass der Gestängelitung. Von derselben Traverse aus gelangt man zu einem ersten Keller und dann zum ersten Stock der westlichen Unterkunft. Diese Treppe setzt sich bis zum Erdgeschoss fort, was sie zu einem auf vier Ebenen geschützten Durchgang macht. Der Verkehrsgang hinter dieser Unterkunft ist über die Breite jedes Jochs gekrümmt, um dem Erddruck besser zu widerstehen. Hier konnte der zerstörte Brotofen 250 Rationen pro Tag backen. Am nördlichen Ende dieser Unterkunft wurde ein einfacher kleiner Beton-Optikposten eingerichtet. Er umfasst drei Schießscharten, aber keinen Tisch für die Ausrüstung und keinen Heliostatenschacht. Da die Schießscharte zum Fort du Mont direkt gegen die Brustwehr der Halseskarpe stößt, wurde in letzterer ein Durchgang mit Metalltüren ausgespart. Zurück in die Hauptunterkunft steigend, wird man dort im hinteren Verkehrsgang auf Strebepfeiler aus Mauerwerk stoßen, die ebenso viele kleine Stützbögen sind. Zu ihrer Rechten umfasst diese Unterkunft umfangreiche Genieräume sowie eine kleine Kaponniere, die die Mitte der langen, geraden Front besetzt, die von der Südeskarpe gebildet wird. Diese Kaponniere ist über eine kleine Rampentreppe zugänglich und ihre Decke besteht aus einer Terrasse mit Brustwehr und vorspringenden Winkeln, um die toten Winkel bestreichen zu können, Vorsprünge, die geeignet sind, einen semantischen Streit zu provozieren. Das sehr wichtige Krankenreviergebäude liegt eine Terrasse höher, also weiter östlich. Dort erkennt man seltene Überreste von Heizöfen. Noch höher, ein weiterer Hof mit der Offiziersunterkunft, hinter der wir das Hauptpulvermagazin finden. Im Lagerraum desselben wird man eine Aussparung in der Decke für den Durchgang der Türen des Lichtschachts bemerken, was zweifellos eine Eigenart darstellt. Die Lampenkammer hat all ihre hölzernen Teile, Treppen und Fußboden bewahrt. Diese Lampenkammer erschließt neben den drei Lampennischen des Pulvermagazins die des benachbarten und beeindruckend hohen Patronenmagazins. Eine halbe Ebene höher findet man eine Gruppe von drei Räumen, von denen die beiden äußeren eine Lampennische haben, die den Platz eines halben Fensters einnimmt und die von außen bedient worden sein muss… ein bizarres und wahrscheinlich einzigartiges Anordnung, das nach einem Notbehelf aussieht. Schließlich, unser Abstreifen nach Osten abschließend, gelangt man zum letzten Niveau der Traversen-Schutzräume, von dem aus man Zugang zu den beiden kleinen Doppelkaponnieren hat, die die Winkel des Winkelhakens der beiden nach Osten gerichteten Fronten einnehmen, Kaponnieren, die durch einen gedeckten Weg verbunden sind, der sehr angenehm zu begehen ist. Die kumulierten Längen der Eskarpen betragen 700 m. Montperché konnte gleichzeitig den oberen Teil des Isère-Tals und den des Arc bestreichen. Seit 2005 ist es bewohntes Privateigentum. Ein Projekt zur Einrichtung von Gästezimmern ist im Gange (10/2007). Dieses Fort, aus mehr als einem Grund originell, verdient sicherlich einen Besuch. Eine Hilfsbatterie hangabwärts, ohne das geringste Mauerwerk. (www.fort-de-montperche.com).
Vesting van Chamousset, oost-noordoosten van de stad, 1875-1876. 965 tot 1 012 m boven zeeniveau. 609 man en 28 stukken. Mooi fort, praktisch rechthoekig, aangelegd op vijf opeenvolgende terrassen, waarbij de troepenkazerne het in zijn kleine midden in tweeën snijdt. Het is ontworpen als een sperfort met geschutsplatformen naar alle windrichtingen. De ingang wordt voorafgegaan door een afgezette halve caponnière. Dit geval, uiterst zeldzaam om niet te zeggen uniek, houdt in, in tegenstelling tot het fort Hauteville, dat het alleen de taak heeft om één grachtsegment te verdedigen, namelijk de oostelijke halshelft. De verdediging van de westelijke halshelft wordt gedeeld tussen loodrechte schietgaten, rechts direct na de escarp-ingang, en wordt over haar gehele lengte beheerst door een borstwering. Merken we op dat deze afgezette halve caponnière ook belast is met de nabijverdediging van de doorgang van de ingang en geenszins via een galerij met het fort verbonden is. Wanneer men het fort binnengaat, staat men bijna tegenover de stallen, die tien troggen bezitten, wat duidelijk boven het gemiddelde ligt. Men moet zeggen dat de minste stukverplaatsing in dit terrassenfort niet zonder paardenkracht kon. Rechts moest een opeenvolging van zeven verdedigingskazematten een vijand verhinderen de afgezette halve caponnière te naderen door gebruik te maken van haar dode hoeken. Op dit niveau vindt men ook de proviandmagazijnen en een trap geeft toegang tot de hoofdonderdak met zeven grote, zeer hoogplafondige kamers. We bevinden ons dan ongeveer in het midden van het fort, deze onderdak, op één niveau, is globaal noord-zuid georiënteerd. Daarvoor, een beetje links en op hetzelfde niveau, geeft een overdekte doorgang uit op een klein hof omzoomd door lokalen bestemd voor de bewapening. Daar deze gevoelige lokalen mogelijk geraakt konden worden, heeft men ze terugwijkend geplaatst van een gang die open is op drie grote openingen die in geval van conflict dichtgemaakt moesten worden. Tegenover hen heeft een traverse-schuilplaats zeer zeker een optische verbindingspost herbergd. Het landhoofd van deze traverse toont vier dichtgemetselde schietgaten en naast de schoorsteen van de heliostaat de doorgang van de stangenleiding. Vanaf dezezelfde traverse bereikt men een eerste kelder en dan de eerste verdieping van de westelijke onderdak. Deze trap zet zich voort tot op het gelijkvloers wat er een op vier niveaus beschermde doorgang van maakt. De circulatiegang achter deze onderdak is gebogen over de breedte van elke travee, om de gronddruk beter te weerstaan. Hier kon de vernielde broodoven 250 rantsoenen per dag bakken. Aan het noordelijke uiteinde van deze onderdak is een kleine eenvoudige betonnen optische post ingericht. Hij omvat drie schietgaten, maar geen tafel voor de uitrusting en geen heliostaatput. Aangezien het schietgat naar het fort du Mont recht tegen de borstwering van de halsescarp botst, is in deze laatste een doorgang met metalen deuren uitgespaard. Terugkerend in de hoofdonderdak, zal men daar, in de achterste circulatiegang, steunberen in metselwerk opmerken die evenzovele kleine steunbogen zijn. Aan zijn rechterzijde omvat deze onderdak uitgestrekte genielokalen alsook een kleine caponnière die het midden van de lange, rechte front bezet, gevormd door de zuid-escarp. Deze caponnière is toegankelijk via een kleine hellingstrap en haar plafond bestaat uit een terras met borstwering en uitstekken aan de hoeken om de dode hoeken te kunnen bestrijken, uitstekken bij machte een semantische twist te veroorzaken. Het zeer belangrijke ziekenboeggebouw is een terras hoger gelegen dus oostelijker. Men herkent er zeldzame overblijfselen van kachels. Nog hoger, een ander hof met de officiersonderdak waarachter we het hoofd kruitmagazijn vinden. In de opslagruimte van dit laatste zal men een uitsparing in het plafond opmerken voor de doorgang van de deuren van de lichtschacht wat ontegenzeglijk een eigenaardigheid vormt. De lampenkamer heeft al haar houten delen, trappen en vloer behouden. Deze lampenkamer bedient, naast de drie lampnissen van het kruitmagazijn, die van het aanpalende en indrukwekkend hoge patroonmagazijn. Een half niveau hoger vindt men een groep van drie lokalen waarvan de twee buitenste een lampnis hebben die de plaats van een half venster inneemt en die van buitenaf bediend moet zijn geweest… een bizar en waarschijnlijk uniek dispositief dat een aanblik van pis aller heeft. Tenslotte, onze afwerking naar het oosten, komt men aan op het laatste niveau van de traverse-schuilplaatsen vanwaar men toegang heeft tot de twee kleine dubbele caponnières die de hoeken van de chevron van de twee naar het oosten gerichte fronten innemen, caponnières verbonden door een overdekte weg die zeer aangenaam is om te doorlopen. De opgetelde lengtes van de escarpen bedragen 700 m. Montperché kon tegelijkertijd het stroomopwaartse deel van het Isère-dal en dat van de Arc bestrijken. Sinds 2005 is het bewoond privé-eigendom. Een project voor de inrichting van gastenkamers is aan de gang (10/2007). Dit fort, om meer dan één reden origineel, verdient zeker een bezoek. Een bijbatterij lager gelegen, zonder het minste metselwerk. (www.fort-de-montperche.com).
Fortress of Chamousset, east-northeast of the town, 1875-1876. 965 to 1,012 m above sea level. 609 men and 28 guns. Fine fort, practically rectangular, established on five successive terraces, with the troops' barracks cutting it in two along its minor median. It is designed as a blocking fort with platforms oriented in all directions. The entrance is preceded by a detached half-caponier. This case, extremely rare not to say unique, implies, unlike fort Hauteville, having as its mission only the defense of a single ditch segment, namely the eastern half-gorge. The defense of the western half-gorge is shared between perpendicular loopholes located to the right immediately after the escarp entrance and is dominated along its entire length by a parapet wall. Note that this detached half-caponier is also responsible for the close defense of the entrance passage and is in no way connected by a gallery to the fort. Upon entering the fort, one finds oneself almost facing the stables, which have ten mangers, which is well above average. It must be said that the slightest gun movement in this terraced fort could not do without horse power. To the right, a succession of seven defense casemates was to prevent an enemy from approaching the detached half-caponier by taking advantage of its blind spots. Also found at this level are the food stores and a staircase allows access to the main barracks comprising seven large rooms, with very high ceilings. We are then approximately at the center of the fort, this barracks, on a single level, being oriented overall north-south. In front of it, slightly to its left and at the same level, a covered passage leads into a small courtyard bordered by rooms devoted to armament. As these sensitive rooms, being susceptible to being hit, they were placed set back from a corridor open onto three large bays that were planned to be blocked in case of conflict. Facing them, a traverse shelter most certainly housed an optical communications post. The abutment of this traverse shows four bricked-up loopholes and next to the chimney of the heliostat, the passage of the linkage. From this same traverse, one accesses a first basement and then the first floor of the west barracks. This staircase extends down to the ground floor, making it a passage protected on four levels. The circulation corridor at the rear of this barracks is curved over the width of each bay, to better resist earth pressure. Here, the destroyed bread oven could bake 250 rations per day. At the northern end of this barracks, a small simple concrete optical post was set up. It comprises three loopholes but no table for equipment and no heliostat shaft. As the loophole towards fort du Mont runs straight into the parapet wall of the gorge escarp, a passage with metal doors was provided in the latter. Going back up into the main barracks, one will note there, in the rear circulation corridor, masonry buttresses that are so many small supporting arches. To its right, this barracks includes extensive engineer rooms as well as a small caponier occupying the center of the long straight front formed by the south escarp. This caponier is accessible by a small ramp staircase and its roof is made of a terrace with a parapet wall and projections at the angles in order to be able to sweep the blind spots, projections apt to provoke a semantic quarrel. The very important infirmary building is located one terrace higher, thus further east. There one spots rare remains of stoves. Higher still, another courtyard with the officers' barracks behind which we find the main powder magazine. In the storage room of the latter, one will note a recess in the ceiling for the passage of the doors of the light shaft, which undoubtedly constitutes an originality. The lamp room has preserved all its wooden parts, stairs and floor. This lamp room serves, in addition to the three lamp niches of the powder magazine, that of the cartridge magazine, contiguous and impressive in height. A half level higher, one finds a group of three rooms of which the two outer ones have a lamp niche occupying the place of a half-window and which must have been served from the outside… a bizarre and probably unique device having the air of a makeshift solution. Finally, finishing our sweep to the east, one arrives at the last level of traverse-shelters from which one can access the two small double caponiers occupying the angles of the chevron of the two fronts oriented to the east, caponiers connected by a covered way very pleasant to walk. The cumulative lengths of the escarps total 700 m. Montperché could sweep both the upstream part of the Isère valley and that of the Arc. Since 2005, it is inhabited private property. A project to set up guest rooms is underway (10/2007). This fort, original in more than one respect, certainly deserves a visit. An annex battery downhill, without the slightest masonry. (www.fort-de-montperche.com).
Pevnost Chamousset, východ-severovýchodně od města, 1875-1876. 965 až 1 012 m/n.m. 609 mužů a 28 děl. Pěkná tvrz, prakticky obdélníková, zřízená na pěti postupných terasách, přičemž ubytovna mužstva ji dělí na dvě části podél její menší střední osy. Je navržena jako zátarasová tvrz s plošinami orientovanými všemi směry. Vstupu předchází odloučená polokaponiéra. Tento případ, nesmírně vzácný, ne-li ojedinělý, znamená, na rozdíl od tvrze Hauteville, že má za úkol bránit pouze jeden úsek příkopu, totiž východní polohřbetí. Obrana západního polohřbetí je rozdělena mezi kolmé střílny umístěné vpravo hned za vstupem do eskarpy a je po celé své délce ovládána zídkou (parapetem). Poznamenejme, že tato odloučená polokaponiéra je také zodpovědná za blízkou obranu průchodu u vchodu a není žádným způsobem spojena chodbou s pevností. Když vstoupíme do tvrze, ocitneme se téměř naproti stájím, které mají deset jeslí, což je výrazně nad průměrem. Je třeba říci, že sebemenší přesun děla v této terasovité tvrzi se neobešel bez koňské síly. Vpravo měla řada sedmi obranných kasemat zabránit nepříteli v přiblížení k odloučené polokaponiéře využitím jejích mrtvých úhlů. Na této úrovni se také nacházejí zásobovací sklady a schodiště umožňuje přístup do hlavní ubytovny obsahující sedm velkých, velmi vysokých místností. Jsme tedy přibližně ve středu tvrze, tato ubytovna, na jedné úrovni, je celkově orientována sever-jih. Před ní, mírně vlevo a ve stejné úrovni, vede krytý průchod do malého dvora lemovaného místnostmi určenými pro výzbroj. Jelikož tyto citlivé místnosti, náchylné k zásahu, byly umístěny v ústraní od chodby otevřené na tři velké otvory, které se měly v případě konfliktu zazdít. Naproti nim přechodový úkryt velmi jistě skrýval optickou spojovací stanici. Opěra tohoto traverzu ukazuje čtyři zazděné střílny a vedle komínu heliostatu průchod táhla. Ze stejného traverzu se přístupuje k prvním sklepům a pak k prvnímu patru západní ubytovny. Toto schodiště pokračuje až k přízemí, čímž se z něj stává průchod chráněný na čtyřech úrovních. Oběhová chodba za touto ubytovnou je zakřivená po šířce každého pole, aby lépe odolávala tlaku zeminy. Zde mohl zničený chlebový pec péct 250 dávek denně. Na severním konci této ubytovny byl zřízen malý jednoduchý betonový optický post. Obsahuje tři střílny, ale žádný stůl pro zařízení a žádnou heliostatovou šachtu. Jelikož střílna směrem k tvrzi du Mont naráží přímo do zídky (parapetu) hřbetní eskarpy, byl v ní vynechán průchod s kovovými dveřmi. Vracejíc se do hlavní ubytovny, všimne si tam, v zadní oběhové chodbě, opěrných pilířů z kamenného zdiva, které jsou tolika malými podpěrnými oblouky. Napravo od ní tato ubytovna zahrnuje rozsáhlé ženijní místnosti a také malou kaponiéru zaujímající střed dlouhé přímé fronty tvořené jižní eskarpou. Tato kaponiéra je přístupná malým šikmým schodištěm a její strop je tvořen terasou se zídkou (parapetem) a výstupky v nárožích, aby bylo možné postřelovat mrtvé úhly, výstupky schopné vyvolat sémantickou hádku. Velmi důležitá budova ošetřovny je umístěna o terasu výše, tedy dále na východě. Tam rozezná vzácné pozůstatky kamen. Ještě výše, další dvůr s ubytovnou důstojníků, za níž nacházíme hlavní prachárnu. V její skladovací místnosti si všimne výklenku v stropě pro průchod dveří světelné šachty, což bezpochyby představuje zvláštnost. Lampová komora si zachovala všechny své dřevěné části, schody a podlahu. Tato lampová komora obsluhuje kromě tří lampových střílen prachárny také tu sousedního a impozantně vysokého nábojového skladu. O půl úrovně výše nachází skupinu tří místností, z nichž dvě vnější mají lampovou střílnu zabírající místo půl okna, která musela být obsluhována zvenčí… bizarní a pravděpodobně ojedinělé zařízení mající příchuť nouzového řešení. Konečně, dokončujíce naše pročesávání k východu, přichází k poslední úrovni traverzových úkrytů, odkud lze přistoupit ke dvěma malým dvojitým kaponiérám zaujímajícím úhly chevronu dvou front orientovaných na východ, kaponiérám spojeným krytou cestou velmi příjemnou k procházení. Sečtené délky eskarp činí 700 m. Montperché mohl postřelovat zároveň horní část údolí Isère i Arc. Od roku 2005 je obývaným soukromým majetkem. Probíhá projekt zařízení hostinských pokojů (10/2007). Tato tvrz, originální více než jedním ohledem, rozhodně zaslouží návštěvu. Pomocná baterie níže po svahu, bez sebemenšího zdiva. (www.fort-de-montperche.com).
Cité dans : Zitiert in : Geciteerd in: Cited in: Citováno v: Hauteville (fort d'), Crépas (blockhaus et coupure du), Chamousset (place de), Foyatiet (batterie de), Tête Lasse (groupement de la), Frais Pertuis (batterie de)